Les mots ne sortent pas. Ils butent, rebutent mais débutent. Je pense à beaucoup de choses et lorsqu’il s’agit des bonnes, rien ne sort, la réflexion reste silencieuse à l’intérieur comme à l’extérieur.

En un simple claquement de doigts, tout peut se révéler face à moi-même. Je respire, soupire, aspire à de nouvelles pensées, à de nouveaux horizons pour guider mon inspiration.

J’envie d’écrire, j’écris d’envie, l’envie m’écrit de trouver l’envie d’écrire, j’écris d’envie d’écrire. Je décris mon envie d’écrire.

Les mots mis bout à bout, peuvent signifier beaucoup.

La façon de les employer, peut nous laisser bouche bée.

Parlez, écrivez, exprimez, vivez, pour faire perdurer cette beauté.

Écrire pour exister, bien plus qu’un geste, bien plus qu’une typographie, bien plus que des lettres, bien plus que des mots. Mis bout à bout ces traces laissées derrière notre passage peuvent éclairer la voie de bien d’autres. N’ayant aucune signification pour certain, ils peuvent prendre tout leurs sens pour d’autres, selon notre appréhension et notre compréhension. Écrire pour exister c’est comme boire, manger, respirer, marcher ; c’est regarder et observer en essayant de comprendre, c’est ressentir, c’est courir, c’est s’exprimer.

Écrire pour exister, c’est transmettre ses valeurs, c’est laisser une trace de notre existence, de notre passage.

Écrire pour exister c’est comme vivre éternellement.