Villes Futuristes

Description

C’est au départ un nuage brouillon, le brouillon d’un nuage, le flou du brouillard qui correspond aux perturbations citadines qui rendent mon esprit confus, qui me sollicitent en permanence.

Toute cette grandeur qui nous entoure nous rend minuscule mais si l’on prend le temps de s’arrêter, de lever la tête, le ciel nous offre l’infini ;

si vaste, si impalpable, si mouvementé, si différent, si chaud, si froid, si loin mais proche à la fois, si nuagé, si étoilé, si coloré, si beau. Il donne tout à coup, accès à l’impossible. De cette grandeur, tous les rêves deviennent accessibles.

Il suffit pour cela de suivre ce chemin, s’il n’est pas visible, il faut alors apprendre à s’arrêter et observer de près ou de loin, à prendre du recul sur ce qui nous entoure et nous même afin de découvrir ce chemin invisible.

L’oppression disparaît dans le ciel étoilé et laisse apparaître cette sensation de légèreté.

A travers la grandeur des choses qui nous entourent que nous fabriquons et construisons, n’oublions pas que mère nature est l’unique majesté et l’unique accès à cette grandeur.

La nature me donne l’espoir et l’envie de réaliser l’impossible et mes rêves les plus fous.

Merci pour cette force, cette foi, la sérénité, la tranquillité et l’apaisement de mon esprit.

Ouvrons les yeux sur ce qui vit autour de nous, ne perdons ni confiance, ni amour en nous, entre nous et en la nature.